Aujourd’hui, je ne mâche pas les mots. Je suis en tant que Mandela ou Soljenitsyn, ces icônes inoubliables qui ont épitomisé jusqu’à présent le combat mené, sur leurs pas, par les démocrates du monde pour inaugurer les valeurs démocratiques dans leurs parties de notre planète.
Comme eux, je suis traqué par un État immoral, celui du Sénégal, désireux de me faire taire. Pas moyen ! Je ne ferai pas de compromis. Je renouvelle par la présente ma détermination à soutenir les causes de ma bataille.
Aujourd’hui, je demande au monde de découvrir les cultures criminelles qui dirigent mon pays. Je ne serai pas expulsé ou enlevé. Un réfugié, debout sur les valeurs fondamentales que je chéris, vivant dans une nation africaine, une grande civilisation, l’Égypte, qui m’a accueilli, je lance un appel à mes compatriotes et à tout leader qui se soucie d’être à mes côtés alors que je suis confronté à un voyou , leadership frauduleux.
Dans le passé, le monde serait justifié de dire : ′′ il ne savait pas « . Dans cette période de plaque technique, aucune excuse n’est possible. En plus de mes écrits quotidiens sur internet, mon livre ′′ otage of a State ′′ montre clairement comment j’ai été pris illégalement par les agents de l’État sénégalais, agissant dans le moule des pires intrigues autoritaires.
Ils sont venus chez moi pour me capturer tôt ce matin fatidique du 29 juillet 2019.
Avec le recul, je me sens chanceux d’être en position de narrer ce qui s’est passé ensuite.
Je me souviens, comme si c’était encore aujourd’hui, comment ces agents de l’État illégaux, sous les instructions de leurs maîtres, ont frappé à mes portes, sans même me rendre compte à quel point ils avaient tort de tenir compte de leurs autorités qui ne pouvaient plus supporter la profondeur de mes dénonciations de leurs activités, y compris la corruption et l’assassinat d’une vieille démocratie.
Leur chef gang est Macky SALL, un ancien fraudeur du téléphone public en Amérique, une personne sans sou il n’y a pas si longtemps mais qui peut maintenant se vanter de milliards de produits criminels.
Étant donné qu’ils sont prêts à continuer à continuer à faire de plus en plus de ce que Max Weber appelle la violence légitime de l’État seulement pour accomplir leur vaisselle et leur dynamisme criminel, j’informe le monde entier de ma détermination à affronter cet État voyou. Je le fais au nom de ma croyance indéfectible dans le caractère sacré de la démocratie et de la bonne gouvernance. Au nom de mes compatriotes sénégalais, dans celui de tous mes pairs africains. Au nom des démocrates du monde entier. Au nom du Sénégal.
Adama Gaye *, un national sénégalais vit au Caire. 23 décembre 2020.
Surplombant le Nil et quand mon peuple s’est opposé à mes ravisseurs d’époque.
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