Alors que l’on croyait la pratique révolue depuis les premiers pas de la deuxième alternance inachevée, voilà  que le ministre de la pêche tente de ressusciter les licences de pêche chinoises.
Ces fameux permis de destruction massive qui rapportent plus que le pétrole mais qui écument la mer également pire que les fourmis magnans qui nettoient les cadavres des animaux.
Le trop zélé ministre de la «propreté» est-il au courant de cette funeste entreprise ou lui a-t-on demandé de regarder ailleurs comme cela a failli se passer façon avec le «Beauf» gourmand qui voulait se refaire avec les gîtes avant les prochai nes municipales?
Je ne sais pas. Dieu m’est témoin. Mais à présent que les sénégalaise savent, nos ressources halieutiques courent, de nouveau, de graves dangers.
Sans doute, ils vont vite réagir avant que d’autres «Jopsy» ne se mêlent dans l’affaire.
Cebe