Une atmosphère politique explosive règne sur Ndoumbelane alors que le tyran Bukki-Apprenti tente de s’accrocher au pouvoir, défiant la volonté populaire et violant ouvertement la Constitution.
À quelques heures du début officiel de la campagne électorale, Bukki-Apprenti a décrété un coup d’État institutionnel, annulant la présidentielle prévue, et imposant son autorité au-dessus de la démocratie. La réaction populaire, décrite dans les contes locaux comme la résistance contre le tyran nu, prend de l’ampleur.
Une coalition de groupuscules, issus de la fragmentation de la famille des Bukki, orchestre un projet de coup d’État institutionnel supervisé par Bukki-Apprenti. Ils tentent de discréditer le Conseil constitutionnel, seul juge habilité à traiter les contentieux électoraux, dans le but de le pousser à la démission collective. C’est la première étape d’un plan machiavélique visant à maintenir le système néocolonial décrié par le Peuple ndoumbelanien.
Le Conseil constitutionnel, surpris par la détermination de la résistance, résiste collectivement, mais Bukki-Apprenti, pressé par le temps, viole ouvertement la Constitution en annulant de facto le processus électoral. Malgré la normalité des institutions, il impose sa volonté autoritaire.
Pour apaiser l’électorat abusé, Bukki-Apprenti jure de ne pas être candidat à la prochaine élection présidentielle, tout en maintenant l’incertitude sur la date du scrutin et sur la fin de son mandat. La résistance populaire, cependant, demeure résolue à s’opposer à tout régime tyrannique.
La communauté internationale doit rester vigilante face à ces événements, et les défenseurs de la démocratie appellent à une condamnation unanime des agissements antidémocratiques de Bukki-Apprenti. Ndoumbelane se trouve à un carrefour critique, où la résistance populaire peut être le rempart contre l’autoritarisme.
Note: Toute ressemblance d’un personnage des contes de Ndoumbelane à une personne de votre connaissance est fortuite ou imaginaire.