Le texte récent de Juan Branco, dans lequel il affirme avoir obtenu des preuves d’une réunion au Palais présidentiel de Dakar impliquant Aïssata Tall Sall, des agents français d’AVISA Partners, et visant à élaborer un plan d’élimination contre lui-même et son client, Ousmane Sonko, soulève des questions troublantes sur les activités de cette entreprise et ses liens potentiels avec l’Élysée.
Les allégations de Juan Branco sont graves, accusant une société d’être impliquée dans des opérations de destruction d’opposants et d’influence à l’étranger. De plus, il affirme que cette entreprise est liée à la présidence française, mettant ainsi en question l’intégrité de l’exécutif français.
Il est essentiel que ces allégations soient sérieusement examinées et que des enquêtes soient menées pour établir la vérité. Si AVISA Partners est impliquée dans des activités illégales, cela devrait être poursuivi conformément à la loi. De même, si des liens entre AVISA Partners et l’Élysée sont prouvés, cela soulèverait des questions graves sur l’usage du pouvoir exécutif pour des intérêts personnels ou privés.
Le Statut de Rome est mentionné dans le texte de Juan Branco, soulignant que toute manœuvre contre lui et son client, Ousmane Sonko, constituerait un crime de persécution au sens de ce statut. Cela souligne l’importance de garantir que la justice et la vérité prévalent dans cette affaire.
Il est important de noter que les allégations de Juan Branco ne sont que des allégations à ce stade, et une enquête appropriée est nécessaire pour établir les faits. Cependant, cette affaire met en évidence la nécessité de la transparence, de la responsabilité et de l’État de droit, tant au niveau national qu’international.
Dans un monde où les questions de droits de l’homme et de respect du droit international sont au cœur des préoccupations, de telles allégations ne peuvent être ignorées. Il est de la plus haute importance que la lumière soit faite sur cette affaire pour garantir la justice, la responsabilité et la vérité.
P.A.N