En démocratie, les règles républicaines doivent prévaloir sur les manœuvres politiques hideuses, pratiques moyenâgeuses de la gouvernance royale. Notre République s’affaisse dangereusement, car l’Exécutif, le Législatifs et le Judiciaire reflètent respectivement une puissance clanique attentatoire à tout citoyen qui rame à contre-courant des desiderata politiques de la dynastie Faye-Sall. Ce clan dresse un Sénégal de jouisseurs, pouvoiristes insatiables qui usent et abusent des atouts et atours de l’État, foulant au pied les us et les coutumes démocratiques légués par leurs prédécesseurs qui donnaient corps à la Res-publica. Ceux et celles qui incarnent sa signature aujourd’hui se retrouvent réduits à exécuter sans broncher les basses besognes d’un chef de clan contraint par la volonté populaire, exprimée dans notre constitution à céder le pouvoir. La régression de la démocratie sénégalaise est un constat d’évidence abominable, s’en douter ou le nier relève d’une immortalité politique abjecte. Et le principal responsable de cette décadence démocratique est le président Sall, qui a mis en avant ses désirs politiques au détriment des normes républicaines, gages d’une gouvernance appréciée et appréciable dans une démocratie civilisée. Il est incontestablement vrai que notre démocratie n’a jamais été éprouvée que sous l’ère Macky Sall. Des journalistes intimidés et embastillés, des opposants politiques violentés et séquestrés sur aucune base légale, les libertés élémentaires de citoyens abrégées facilement à cause de leur opinion politique sur la gestion du pays.
Ligne-Indirecte : le décor monstrueux de notre démocratie.
En démocratie, les règles républicaines doivent prévaloir sur les manœuvres politiques hideuses, pratiques moyenâgeuses de la gouvernance royale. Notre République s’affaisse dangereusement, car l’Exécutif, le Législatifs et le Judiciaire reflètent respectivement une puissance clanique attentatoire à tout citoyen qui rame à contre-courant des desiderata politiques de la dynastie Faye-Sall. Ce clan dresse un Sénégal de jouisseurs, pouvoiristes insatiables qui usent et abusent des atouts et atours de l’État, foulant au pied les us et les coutumes démocratiques légués par leurs prédécesseurs qui donnaient corps à la Res-publica. Ceux et celles qui incarnent sa signature aujourd’hui se retrouvent réduits à exécuter sans broncher les basses besognes d’un chef de clan contraint par la volonté populaire, exprimée dans notre constitution à céder le pouvoir. La régression de la démocratie sénégalaise est un constat d’évidence abominable, s’en douter ou le nier relève d’une immortalité politique abjecte. Et le principal responsable de cette décadence démocratique est le président Sall, qui a mis en avant ses désirs politiques au détriment des normes républicaines, gages d’une gouvernance appréciée et appréciable dans une démocratie civilisée. Il est incontestablement vrai que notre démocratie n’a jamais été éprouvée que sous l’ère Macky Sall. Des journalistes intimidés et embastillés, des opposants politiques violentés et séquestrés sur aucune base légale, les libertés élémentaires de citoyens abrégées facilement à cause de leur opinion politique sur la gestion du pays.