Dans l’affaire du meurtre de Ndèye Diop à Touba, les conclusions de l’autopsie ont éclairé un peu sur la manière dont le crime a été perpétré.
Du nouveau dans l’enquête sur le meurtre présumé de Ndèye Diop à Touba. En effet, le certificat de genre de mort fait état de «cinq plaies pénétrantes » sur le corps sans vie. Le document révèle, selon Libération, que la jeune fille est décédée suite à une «asphyxie mécanique» après «des coups et blessures provoqués par une arme blanche».
Face aux enquêteurs, le tueur présumé, A. Mbacké, a avoué qu’après avoir assommé sa victime, il l’a poignardé au cou. Mais, durant son acte odieux, la lame du couteau s’est cassée. Puis, il a saisi ensuite un fil électrique pour l’étrangler à mort. Il est visé pour meurtre avec préméditation.
Youssouf SANE