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Entre les sphères ministérielles de Diamniadio et la maison des Nations Unies qu’il est en train de construire dans la même ville nouvelle, le malien, ancien de la Banque Mondiale, a raflé au total près de 210 milliards de gains futurs, dans les quinze prochaines années avec le Trésor Public. En effet en signant avec Envol Immobilier, sa société, l’Etat du Sénégal permet à ce dernier de construire des édifices publics sous le schéma de contrat de location-vente à date. Après avoir raflé un premier contrat de 51 milliards pour les sphères ministérielles, il est revenu pour signer un autre contrat, celui-là encore plus rémunérateur de 160 milliards pour Onu City avec un paiement étalé sur 160 mois avec des revenus de près de 1 milliard mensuel payé à l’année. Ces contrats en or suscitent toujours des remises en cause au sein du ministère des Finances dont plusieurs de ses techniciens avaient émis des réserves. Surtout que les services des Impôts ont du plusieurs fois demander des règlements à Envol Immobilier, des recouvrements effectués avec beaucoup de difficultés. N’empêche, l’ancien banquier dispose de solides appuis au Sénégal et arrive à pré-financer ses travaux avec Coris Bank et compte lorgner d’autres marchés publics, avec des offres spontanées, à la fin d’Onu-City.
