Les écrivains riment le corona

Dans cette histoire de virus intelligent, il y a des « mais », « moi », «vous»,   «et moi vous me connaissez». Tant que n’est pas clair,  je suis là-dessus.

Chaque matin, le ministre de la santé nous offre des médecins sur le plateau pour nous briefer ou pour nous rassurer.

Chaque soir, en revanche, c’est l’Association des écrivains du  Subégal, qui a son tour, descend à la télé de Ndiaye «Radiakh» pour faire sa promotion et chanter les louanges de Big Macky

Pas trop reluisant, avez-vous dit?  J’ajouterai pas trop original non plus car c’est la même démarche qui avait été observée au début des années 80, en donnant le nom du fils de Senghor, aux éditions « Maguilene. »