Pas un éminent socialiste sur qui compter, pour garder l’espoir de voir une recension des doctrines odieuses de la politicaillerie qui ne cessent de dégrader l’image des caciques de ce parti. – faire en sorte que les coups bas fratricides ne soient pas la normalité dans cette formation politique historique. – Que les calculs politiques démoniaques ne s’érigent pas systématiquement comme mode de fonctionnement pour revenir aux affaires ou bénéficier les atouts et les atours du pouvoir. De vains vœux ! contre un système rébarbatif, ancré dans le grand système politique ! Car les Tanoristes, les Khalifistes etc… , s’embouteillent dans ce parti, finalement embouté à cause des ambitions personnelles et narcissiques, qui certes se croisent naturellement à cause d’une adversité ou d’une émulation politico-politique à l’interne, mais devraient aussi se décroiser face à « l’essentiel ». Un mot peu cher au maire de Sicap Mermoz, qu’il érige en devise de la surenchère.
Parce que l’essentiel devrait être pour les « socialistes ». – Un projet de société commun, alternatif empreint de traits du « socialisme moderne », incarné par un leader qui a du cran et capable de convaincre les Sénégalais à leur redonner la confiance politique après quarante ans de somnolence au pouvoir.
L’essentiel doit tourner aussi autour d’un idéal politique repensé et re-pansé et non à des combines et de combinaisons politiques qui puent le machisme et la tortuosité dans un domaine ou les reflexes genrés sont à bannir maintenant. L’ancien maire de Dakar a raté une belle occasion d’administrer une thérapie de groupe aux choix du candidat à la mairie de Dakar issus de ses rangs. Malheureusement, il a était plus partisan que politique face à la ténacité de la candidature de Barth contre celle de la maire sortante, Soham Wardini, n’en déplaise aux bruyants Khalifistes du « reseau-bleu » qui peinent à donner un sens et une orientation politique au « Khalifisme » si ce n’est que les coups bas fratricides et la tortuosité.