Personne n’ose naviguer à contre courant ou émettre un autre son de cloche si l’on s’en tient à l’exposé des motifs qui a présidé à l’élaboration et plus tard à l’adoption sur les différentes tables du projet de loi visant à condamner avec la dernière énergie (et sans aucun jeu de mot) ces détraqués, ces maniaco-sexuels attirés par le sexe non seulement non consenti mais plus grave sur des mineur(e)s .
Nul ne peut comprendre ce qui anime et traverse quand des actes d’une telle ignominie sont posés et arrachés (c’est le mot).Dans la douleur et la souffrance, du plaisir (oh pardon !) est arraché dans le sang et dans les larmes avec tant de véhémence et de férocité, il faut être un animal, une bête de somme et même ceux-là rechignent et négocient avec des parades et autres salamalecs avant l’acte.
Comment se fait-il que des individus dotés de raison et de bon sens puissent descendre d’un si niveau de bestialité et d’imbécilité pour quelques secondes de cynique jouissance ressentie dans les ébats et débats (ttements). Pur cynisme et (psychiat-rite), nuisibilité et inutilité que seul peut-être l’écosystème dans sa plénitude et dans son accompli peut expliquer sinon le gommage se justifierait.
Et le comble quand de telles atrocités sont posées sur des enfants , des bouts de choux innocents et sans défense aux antipodes des actes qu’on pose sur eux et pourtant aux effets indélébiles et à jamais marqués et gravés : La pédophilie sur fond de viol est inqualifiable et à la place du cœur c’est sûrement un caillou en béton pour afficher cette froideur et cette laideur devant cette moelle et cette cire à modeler , à façonner , ce visage doux et rayonnant , ne demandant que sûreté et sécurité, protection et joie de vivre. Voilà pourquoi l’unanimité semble se dégager autour de cette disposition qui durcit les peines et empêche toute possibilité de compression…les peines étant encadrées avec un plancher infâmant.
Seulement et au vu des sanctions suprêmes encourues et de leur caractère humiliant, tout abus ou erreur dans les accusations et inculpations ne saurait être pardonné. Aux juges de prendre toutes les dispositions de garantie et de véracité des preuves avant le prononcé.
C’est un milieu pollué parfois par des lobbyings et autres préjugés avec des organisations en toutes et de toutes sortes dites féminines et de /et /ou en genre qui pour un oui ou un non peuvent se laisser aller à tort et à travers et surtout à tort aux conséquences incalculables.
Des cas sont là et peuvent servir de jurisprudence où dans un couple à bout et au bord de la rupture, des complots sont ourdis pour faire croire, le non dit étant la satisfaction d’intérêts vachement matérialistes avec un bouchon placé à un niveau de lâcheté et de reniement insoupçonnable.
Déjà …étayer un viol posait problème dans nos juridictions faisant intervenir d’autres avis (parfois complaisants !?), le juge jouant très souvent sur sa conviction, une conviction…intime loin parfois de la matérialité des preuves. C’est si complexe que pour la Charia…il faut…allez voir !
IBOU SENE KAOLACK