L’Alliance pour la République après les calamités naturelles du week-end dernier et les décisions prises par le Chef de l’État pour soulager les populations, vole au secours de ce dernier rudement malmené par une opposition et la société civile.
Dans un communiqué signé de leur porte parole Seydou Guèye, l’APR a salué l’enveloppe d’urgence de 10 milliards déstinés aux sinistrés sous forme de cash transfert et d’appui en denrées de consommation, produits phytosanitaires et médicaments, mais aussi pour le renforcement de l’efficacité des opérations de pompage et des systèmes d’assainissement par les services de l’État.
« En vérité, en convoquant une réunion d’urgence le mardi 8 septembre 2020, le Président Macky SALL a fait preuve de responsabilité, de célérité et surtout de solidarité et de compassion envers nos concitoyens sinistrés, pour apporter une solution aux conséquences des inondations constatées dans certaines localités du pays, suite aux pluies diluviennes enregistrées le week-end dernier » lit-on dans la note.
Par ailleurs, l’Alliance pour la République dit rester convaincue de l’efficacité du Plan Décennal de Lutte contre les Inondations (PDLI) validé par le Président Macky Sall en septembre 2012 et doté de plus de 766 milliards de FCFA de budget prévisionnel.
« En effet, grâce au PDLI plusieurs localités du pays, dans un passé récent sous les eaux, ont vu leur situation sensiblement améliorée, beaucoup ayant même rompu avec les amarres des inondations. Structuré autour d’une phase d’urgence sur la période 2012-2013 pour 66,375 milliards FCFA, d’une phase sur le court et moyen, celle de consolidation entre 2014-2016 pour 250,603 milliards FCFA, le PDLI devrait finaliser la stratégie de lutte, dans sa phase cruciale 2017-2022, au regard du volume de projets structurants prévus sur la séquence »,
L’APR de se féliciter enfin de la décision du Président Macky Sall de procéder d’une part, à une évaluation rigoureuse du programme en vue de le poursuivre avec un nouveau schéma pour le financement et d’autre part, d’engager la deuxième phase du PROGED, Programme de gestion des eaux pluviales et d’adaptation aux changements climatiques.