A cinq jours du scrutin législatif, la violence s’invite à nouveau dans la campagne électorale. Occasion saisie par la tête de liste de Pastef, Ousmane Sonko pour asséner ses vérités après que leur caravane ait été attaquée à Saint-Louis. »On a été attaqué à trois reprises ,il y a eu zéro arrestation. C’est la faillite de l’Etat et je le dis en tant que candidat.
C’est fini pour eux, Barthélémy Dias ne battra plus campagne c’est fini. Laisser nos militants se faire poignarder, je ne l’accepterai pour personne, même pas pour le Président de la République.
Ce mardi, je ferai ma déclaration devant chez Barthélémy Dias. S’il fait le con on va le taper sur le terrain et…En tant que PM si je dis au ministre de la Justice de poursuivre quelqu’un, il a l’obligation d’appeler le Procureur ,qui à son tour appelle le Procureur pour convoquer la personne que j’ai indiquée », renseigne Les Echos.