.
.
En ce premier jour de campagne pour la présidentielle de 2024, les acteurs politiques continuent de dérouler leur programme pour séduire l’électorat. Au sein du parti Rewmi, Idrissa Seck était à Ouakam pour rencontrer les acteurs de la pêche et leur présenter son programme. Une occasion que ‘’Ndamal Kadior’’ a saisie pour donner les raisons de son long confinement.
Aphone depuis des mois, le candidat Idrissa Seck, dans le cadre de la campagne électorale qui a démarré, avant-hier, a envahi le terrain pour rencontrer son électorat. Alors que certains leaders politiques démarrent avec des meetings et caravanes, le leader du parti Rewmi a débuté avec les acteurs de la pêche. C’est ainsi qu’il s’est déplacé à Ouakam pour signer la Charte pour une pêche durable. Malgré tout ce qui s’est passé dans le pays avec le report du scrutin, ‘’Ndamal Kadior’’ a saisi l’occasion pour donner les raison pour lesquelles, il était absent sur la scène politique depuis ces dernières semaines. «Beaucoup se posaient la question sur mon silence depuis plusieurs jours. Diriger un pays ne se fait pas dans la précipitation et l’amateurisme. Cela exige beaucoup d’efforts et une mise à jour pour se mettre au rythme de ce qui se passe et comment l’aborder et le gérer. C’est cela qui nous a poussé à revisiter tous ces secteurs et les acteurs pour voir comment travailler dans le futur. Et nous avons décidé de le faire avec les acteurs de la pêche», se justifie-t-il.
«Beaucoup se posaient la question sur mon silence depuis plusieurs jours. Diriger un pays ne se fait pas dans la précipitation et l’amateurisme. Cela exige beaucoup d’efforts et une mise à jour pour se mettre au rythme de ce qui se passe. C’est cela qui nous a poussé à revisiter tous ces secteurs et les acteurs pour voir comment travailler dans le futur. Et nous avons décidé de le faire avec les acteurs de la pêche»
Se voulant plus clair, l’ancien président du Conseil économique, social et environnemental rappelle que sa réflexion date de bien des années : «Je l’ai commencé depuis très longtemps. Il faut que vous vous rappeliez que j’ai été, en 1988, à l’âge de 28 ans, le directeur de campagne du président Wade. J’ai eu beaucoup de responsabilités dans ce pays. Mais être président de la République exige de savoir ce qui se passe dans le pays et en dehors. C’est toute la pertinence de ce pacte que je compte signer avec le peuple. Nous avons besoin de cohésion nationale, de paix, de sécurité, de stabilité. C’est un travail énorme mais possible», précise-t-il. Au total, 13 points de la charte du Collectif national pour une pêche durable ont été présentés par Abdoulaye Ndiaye à Idrissa Seck qui les a rencontrés ; Le candidat du parti Rewmi a signé la charte et s’est engagé à la respecter, s’il est élu au soir du 24 mars 2024, 5 ème président de la République du Sénégal.
«La pêche a des difficultés et la durabilité est improbable. Il nous faut relever les défis. On a perdu des vies humaines dans la mer. Si ces milliers de jeunes pouvaient trouver leur compte dans la pêche, ils n’allaient pas braver la mort»,
« voir comment travailler dans le futur. Et nous avons décidé de le faire avec les acteurs de la pêche», se justifie-t-il.
Se voulant plus clair, l’ancien président du Conseil économique, social et environnemental rappelle que sa réflexion date de bien des années : «Je l’ai commencé depuis très longtemps. Il faut que vous vous rappeliez que j’ai été, en 1988, à l’âge de 28 ans, le directeur de campagne du président Wade. J’ai eu beaucoup de responsabilités dans ce pays. Mais être président de la République exige de savoir ce qui se passe dans le pays et en dehors. C’est toute la pertinence de ce pacte que je compte signer avec le peuple. Nous avons besoin de cohésion nationale, de paix, de sécurité, de stabilité. C’est un travail énorme mais possible», précise-t-il. Au total, 13 points de la charte du Collectif national pour une pêche durable ont été présentés par Abdoulaye Ndiaye à Idrissa Seck qui les a rencontrés ; Le candidat du parti Rewmi a signé la charte et s’est engagé à la respecter, s’il est élu au soir du 24 mars 2024, 5 ème président de la République.
