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Invité du Grand Jury de la Rfm,le jeune Directeur de publication de Jeune Afrique a fait un tour d’horizon, sorte de projection sur le futur du jeu politique au Sénégal…
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Marwane est quelque part un « spécialiste » du Sénégal pour avoir séjourné à plusieurs reprises dans ce pays.
Il est assez perspicace et fréquente assidûment ceux qui incarnent la crème du personnel politique mais je le classe finalement dans le même lot que Robert Bourgi et compagnie.
Ce sont des gens qui forcent très souvent le trait mais ils ne peuvent mieux maîtriser l’actu politique que les Sénégalais.Certains journalistes crédibles et autres politologues du pays savent être plus percutants.
2 Jeune Afrique, France 24 et d’autres titres ronflants de la presse internationale sont en quelque sorte dans une opération- séduction basée sur des rapports de force et des jeux d’intérêt.
La nouvelle vocation pétrolière et gazière du Sénégal aiguise bien des appétits et Marwane lui même en a parlé à foison dans l’entretien.
Nous les voyons venir de loin pardi !
Ces médias sont finalement dans une stratégie éprouvée de positionnement pour juste dire au tout prochain Président de la République : » Pensez à nous ou nous ferons un malheur »…
C’est classique ; rien de nouveau sous le soleil.
Il faut qu’ils comprennent que la nouvelle génération d’Africains ne traîne aucun complexe vis-à-vis de leurs publications du reste controversées.
3 C’est bien beau de rouler les mécaniques, dresser le portrait- robot du futur Chef de l’Etat, egratignant certains profils par ci pour porter d’autres au pinacle par là…
In fine,le choix exclusif du peuple sénégalais va prévaloir.
C’est l’essentiel *
