Comment pouvons nous imaginer une seule seconde parce qu’une personne est supposée être proche de Sonko , la solution n’est rien d’autre que de détruire son espace de travail. Et pour justifier l’acte scandaleux un préfet nous sert « Nous sommes en guerre ».
C’est abominable et abject. Jamais un régime n’est allé aussi loin dans l’adversité. Désormais ce n’est même plus de l’adversité mais de la haine. Nous savons tous que le Sénégal fonctionne désormais sous la forme d’un régime d’Apartheid qui ne se base pas sur la couleur de la peau mais de l’appartenance politique.
Ce ne serait pas exagérer de parler de génocide. Car toute forme de génocide commence par la traque, la persécution, l’arrestation et l’emprisonnement n’est qu’une forme de mort en douce. Une catégorie de citoyens sénégalais est persuadée, convaincue qu’elle ne sera jamais protégée par les institutions de l’Etat. Bien au contraire .
Ces sénégalais risque même d’être exterminés dans un silence complice. La masse se complaît dans une fausse neutralité car le régime de la terreur a fini de distiller la peur partout. Le Sénégal n’a pas seulement touché le fond mais maintenant il le creuse. Bientôt le précipice.
Apartheid Senegalese version
How can we imagine for a single second because a person is supposed to be close to Sonko, the solution is nothing but to destroy his workspace. And to justify the scandalous act a prefect serves us « We are at war ». It is abominable and abject. Never has a regime gone so far in adversity. From now on it is no longer even adversity but hatred. We all know that Senegal now functions as an Apartheid regime which is not based on skin color but political affiliation. It would not be exaggerating to speak of genocide. Because any form of genocide begins with tracking, persecution, arrest and imprisonment is just a form of quiet death. A category of Senegalese citizens is convinced, convinced that they will never be protected by state institutions. Quite the contrary. These Senegalese even risk being exterminated in an accomplice silence. The masses take pleasure in a false neutrality because the regime of terror has finished distilling fear everywhere. Senegal have not only hit rock bottom but are now sinking. Soon the precipice.