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L’affaire du gynécologue Al Fousseynou Gaye commence à prendre de l’ampleur. En effet celui qui avait examiné Adji Sarr et qui dit craindre aujourd’hui pour sa vie, a fini par saisir Amnesty international.
Selon les Echos qui donne l’information dans sa parution du jour, Amnesty compte bien accompagner le médecin. L’organisation de défense des droits humains a demandé hier, par la voix de Seydi Gassama, une protection de la part du ministre de l’Intérieur.
Une lettre devrait d’ailleurs être adressée au premier flic du pays, dans ce sens. Amnesty International n’exclut pas d’user de moyens pour attirer l’attention de la communauté internationale.