Un temps, on annonçait procureur Serigne Bass, en affectation à Thiès. Un autre, quelque part en villégiature au Sud du pays, pour récupérer de toutes ces années alambiquées, qu’il vient de traverser.
Mais au final, nada ! Nous sommes restés « Gros-Jean comme devant. » Si on peut le situer au Palais Royal ( ou Rosée, pour les connaisseurs ), personne ne peut dire exactement où ( Zeynab ).
Dans tous les cas, à la veille de l année sociale et très électorale qui s’annonce, le procureur Serigne Bassirou Gueye ne court pas de risques de s’ennuyer.
Apres que Seynabou Ndiaye Diakhaté, l’ex boss de l’OFNAC, lui a confirmé qu’elle n’était pas amnésique et quelle lui avait bien remis une vingtaine de rapports à traiter, il serait temps de fouiller les tiroirs, pour savoir ce qu’ils sont devenus.
Et basta avec ces histoires de coudes qui servent de couvercles, comme cela paraît à la mode. Cela dit, qui sont toujours ces gens épinglés par Tâta Zeynab, qui figurent au premier rang de ces rapports ? Pourquoi ne nous livre-t-on pas quelques noms, histoire de nous mettre en condition, de nous faire saliver et de nous tenir en haleine?
Pour « mane », on doit nous donner leurs noms. Comme disent les copains de Thiate, y en a marre. . C’est la moindre des choses que le procureur ( ou son remplaçant), nous doit comme cadeau de «faim» d’année.
Nous attendons depuis l’an 2020 pour avoir quelque chose à nous mettre sous la dent, à ronger. Faudrait pas que tout cela finisse en queue de poisson, comme ces dernières années. « Khana nakk »on ne va pas attendre Jusqu’à 2024 et quelques, pour savoir qui pompait notre fric ?
Sébé