C’est comme si certains avaient sniffé les effluves d’une drogue nocive. A Paris, c’est Idrissa Gana Guèye qui refuse de jouer avec son maillot floqué de la couleur arc-en-ciel dédiée à la communauté LGBT. Et depuis hier, ça tire dans tous les sens avec une vaste solidarité de compatriotes pour l’international sénégalais qui fait un pied de nez à la communauté gays Sur le terrain… de la politique sénégalaise, on s’accuse de tous les tripatouillages. A la coalition Yewwi Askan Wi, un mauvais esprit aurait falsifié la liste de ce conglomérat de l’opposition. L’intéressé s’est vite lavé de tout soupçon avant que le mandataire de cette coalition ne vienne le désigner du doigt. Ça va sentir mauvais. Quant à l’armée mexicaine au pouvoir, on l’accuse de falsification avec la complicité de l’administration. Le 04 mai, on lui reproche d’avoir eu un surplus d’un parrainage, ne rigolez pas. Et comme par hasard, le lendemain, ce même pouvoir aurait publié en catastrophe un arrêté justifiant le surplus. Et ça déballe… A Mbacké, on pourrait croire que le boss de la Lonase a tiré sur un joint. Il menace de mort et intimide l’opposant le plus célèbre de Galsen si ce dernier revient dans la zone dont il pense détenir le titre foncier ! Il y est surtout formellement interdit à l’opposant de citer son nom à Guédiawaye s’il ne veut pas rentrer chez lui les pieds devant. Pour moins que ça, puisque ce sont des menaces de mort, des gens moisissent en prison. C’est à quoi ça donne si on veut donner des gages de fidélité. Un autre directeur général d’une boite publique s’est lui aussi donné toutes les libéralités. A travers une contribution dans un site sous forme de publicité et fermée aux commentaires de ces sales internautes, il s’est fendu d’une longue contribution pour traiter le même opposant de tous les noms avec des attaques en dessous de la ceinture et que la morale réprouve. Hélas, avec la grande insécurité et les mots des politiciens qui volent bas, il faut s’attendre à tout d’ici fin juillet.
KACCOOR BI
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