En difficulté dans ses accusations contre Ousmane Sonko, la jeune masseuse fait l’objet d’une plainte pour collecte illicite et diffusion de données à caractère personnel.
D’audition en d’audition, de sortie médiatique en sortie médiatique, les déclarations d’Adji Sarr se suivent et ne se ressemblent pas. Chaque fois, elle est mise devant ses contradictions. A chaque audition ou chaque sortie médiatique, elle nous sert une séquence dont elle a du mal à raconter ou à jouer. Bref, l’actrice Adji Sarr, la star de Mamour Diallo, peine à convaincre, non seulement les enquêteurs de la gendarmerie, les juges d’instruction, mais aussi l’opinion nationale, malgré l’instrumentation d’une certaine presse traditionnelle nauséabonde et des sites Internet pourris.
Malgré son iPhone 12 et ses 3 millions de dépenses par jour, selon son maboul et vulgaire avocat et la bonne mine forcée affichée devant les journalistes – et qui a été vite démentie par un autre cliché d’un même instant de la masseuse – Adji BouMamour s’enfonce dans l’abîme. C’est ce qui explique qu’elle est sous « médoc » pour reprendre son expression. Quand on est sous médicament, c’est parce qu’on est dans un autre monde où on cherche à quitter. Malheureusement, ces soutiens (ses tatas et ses tontons) alimentaires veulent continuer à l’enfermer dans cet enfer. Parce que c’est dans cet enfer que dépend leur pitance.
Ngor Sarr
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