UGB : les atrocités que révèle la dépouille de l’étudiante Seynabou Ka Diallo

par pierre Dieme

Du nouveau dans l’affaire Seynabou Ka Diallo, étudiante de la 31e promotion à l’UFR S2ATA de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis qui a été retrouvée morte vers Ndiawdoun, village situé à quelques encablures de Sanar. ‘’Libération’’ dans sa parution de ce samedi a révélé les premiers éléments de l’enquête. D’après le journal, des traces de violences extrêmes ont été détectées sur le corps sans vie. En attendant l’autopsie, ajoute le journal, les premiers constats laissent penser à un viol suivi de meurtre. Les premiers éléments de l’enquête sur la mort de Seynabou Ka Diallo poussent à penser que l’étudiante de l’UGB a été lâchement assassinée.
Libération, qui donne l’information dans son édition de ce samedi, rapporte que la victime porte des traces de «violences extrêmes», surtout au niveau de la tête, du ventre et du cou.
Le journal annonce qu’une autopsie sera pratiquée ce samedi sur la dépouille de la jeune dame. Elle permettra de connaître la nature de ses blessures et éventuellement si elle a été violée avant d’être tuée.
Originaire de Bambey, Seynabou Ka Diallo était étudiante de la 31e promotion de l’UFR S2ATA de l’UGB. Elle était portée disparue depuis mercredi dernier. Sa disparition inquiétait ses camarades, qui avaient lancé un avis de recherche.
Ils seront informés par la brigade de recherches de Diama que le corps sans vie de l’étudiante a été retrouvé à Ndiawdoun, un village situé à cinq kilomètres de l’Université. 

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