L’audience que le Président de la République a accordée à l’ex mandataire de la coalition Yewwi Askan Wi à Matam alimente les débats. Me Moussa Diop entre dans la danse et parle de l’arme du crime qui se trouve dans l’enveloppe auprès du désormais membre de l’APR Djibril Ngom. Voici en intégralité son post sur sa page Facebook
” C’est à peine remis du tâtonnement présidentiel sur la suppression/ rétablissement du poste de premier ministre que je rechute face non seulement à l’audience accordée par le Président de la République au faussaire électoral de Matam (Djibril Ngom) mais surtout sur l’utilisation de nos deniers publics par le chef de l’Etat pour racheter des opposants (l’arme du crime est dans l’enveloppe bien bourrée de billets de banque)
Au lieu d’utiliser nos deniers pour payer les indemnités de départ aux véritables managers (mes indemnités contractuelles sont toujours confisquées par lui en raison de ma position sur la 3eme mandat), on corrompt des opposants au sein même de la maison de la République. Je ne reconnais plus mon Président depuis sa réélection en 2019 pour un dernier mandat. Cette audience confirme que les élections sont loin d’être locales.
Après la mallette de SEGURA de WADE, voici la grosse enveloppe de la honte qui crève le cœur après celle de Mme Fouta Tampi.
Pendant ce temps, aucun apériste nommé par décret n’ose s’émouvoir publiquement.
Qu’aucun ministre ou Dg ne m’appelle nakk par télégram.
À la task-force et à la convention des cadres républicains de nous expliquer.
Vivement 2024 dans 120 semaines.