« Idrissa Seck ne s’est distingué qu’à travers deux choses : les recrutements à n’en plus finir de personnels cadres grassement payés à ne rien faire et des plénières en en visioconférence », attaquent nos confrères de Les Echos.
Selon le journal, ce qu’Idrissa Seck ne savait pas en prenant les rênes du Conseil économique, social et environnemental, c’est que dans cette institution, ce sont les conseillers qui travaillent. Les autres ne font que de l’administration. Donc ces nominations ne valent rien et n’ont rien apporté au Conseil.
Idrissa Seck n’a convoqué aucune plénière présentielle du Cese
Pire, depuis qu’il est à la tête de l’institution, à part le jour de son installation, Idy n’a, à aucune fois, rencontré les conseillers dans le cadre d’une plénière en présentiel. Et même hier-jeudi, c’était encore en visioconférence. La raison avancée ? Restrictions sanitaires liées au Covid-19. De qui se moque-t-on ? Quelles sont les restrictions ? Qui a vu des restrictions ? S’interroge le journal.
Alors que les Conseils des ministres se tiennent en présentiel, l’Assemblée nationale se réunit en présentiel… Et lui, il veut nous faire croire qu’il y a encore des restrictions sanitaires liées au coronavirus. Attendons dans ce cas qu’il fasse campagne pour les locales en visioconférence, taquine le journal.