Hier, à la télé, nous étions comme des invités qui s’étaient trompés du dimanche.
En face de nous, il y avait en effet, non pas le Procureur de la République, mais une Aïssatou Diop Fall déchainée, qui a condamné le leader de Pastef sans appel et qui lui impute toute cette situation délétère que nous vivons maintenant, et y compris ces co-arrestations intempestives, qui portent atteintes à la liberté.
Pourquoi, malgré la mine déconfite de Ciré Dia et Cheikh Diallo, continue-t-elle à tirer à bout de roue sur Ousmane Sonko, en le traitant de lâche, de menteur et de pas mal de noms d’oiseaux que nous nous interdisons de reproduire ici ?
Il doit se passer quelque chose ! Car Aïssatou Diop Fall commence à détonner.
Son comportement est indigne d’une journaliste de son âge et sa façon de faire rappelle plus une politicienne en manque de notoriété capable de vendre son âme au diable pour assouvir ses desseins inavoués.
Pas de la lutte avec frappe !
CEBE