Les Nations Unies sonnent l’alerte. Les risques de manifestations qui pèsent sur Dakar avec le début du processus de la levée de l’immunité parlementaire d’Ousmane Sonko mais également le possible passage devant le Procureur, de ses militants arrêtés sont pris très au sérieux par le système des Nations unies (SNU).
Dans une note parvenue à Emedia, la responsable de cette institution, Corinne Héraud informe son personnel qu’il y a des risques de nouveaux affrontements entre les forces de l’ordre et les partisans du leader du parti Pastef qui fait face à une accusation de viols et de menaces de mort.
C’est ainsi qu’elle demande à ses employés d’éviter les déplacements non essentiels aux abords de l’Assemblée nationale, le Plateau et la zone Sacré Cœur, toutes les zones de rassemblements. Elle les invite à être à l’écoute des médias et de rapporter tout incident dont ils seraient témoins à leur agence.
Emédia