Le variant britannique du coronavirus vit donc parmi nous. On ne peut vraiment pas dire qu’il est le fils de la Covid-19. Mais c’est celle-ci qui s’est transformée pour être plus méchante, plus sournoise. D’ailleurs, selon le Robert, le variant est un “organisme qui se différencie des autres membres de la même espèce par des caractères mineurs”. Le coronavirus peut se transformer à chaque fois qu’il se transmet, explique-t-on. On parle de “mutation”. Une manière de survivre.
La Covid-19 a ainsi connu de nombreuses mutations depuis son apparition fin 2019. Il y a d’autres variants comme le “Sud-Africain”, le “Brésilien”, mais le “Britannique” est réputé être plus mortel. “50% plus contagieux que le nouveau variant du coronavirus”, selon une étude de l’Ecole de médecine tropicale de Londres. En d’autres termes, ce variant est un tueur en série impitoyable et surtout déterminé à nous mener la vie difficile.
Une vie déjà malmenée par les conséquences néfastes de l’activisme d’un des membres de sa famille qui est parmi nous depuis mars 2020. Que faire face à ces terroristes? Les empêcher d’entrer dans notre territoire en renforçant la surveillance de nos frontières. Contrôler strictement l’aéroport et les tests qui peuvent se révéler être faux.
Il faut surtout respecter les mesures conseillées par les autorités sanitaires, en portant le masque, en respectant la distanciation physique et en évitant les rassemblements. Oui il faut de la discipline, en attendant l’arrivée d’un vaccin qui installe déjà la polémique dans notre belle terre de “polémiqueurs”.
Miim Réew