Cela commence quand même à faire beaucoup. Depuis quelques temps en effet, les opérations à Wari se soldent toujours par des échecs.
La boite semble être dans une telle passe difficile que même de ses salles ont dû fermer.
Le tout a commencé quand des operateurs se sont ligués comme un seul homme pour se faire rembourser leurs avoirs qui dormaient dans les boites de Kabirou Mbodji.
Devant l’impossibilité de se faire rembourser, certains hommes d’affaires ont ainsi fermé leurs boutiques Wari, sans tambours ni trompettes.
Mais au lieu de placarder des affiches pour informer les clients, les activités continuent à l’intérieur, c’est-à-dire qu’on encaisse, en faisant semblant de transférer mais on en reste là.
Wari est bien mort cette fois et il est le temps que son propriétaire réagisse en informant les clients.
Sur tout ce qui se passe par des partenaires comme « Taf-Taf », « Send », pour envoyer de l’argent à leurs parents ou amis, Wari doit lever le doute pour ses activités actuelles
Et se confirmer à la loi bancaire qui veut que quand on cesse ses activités, les clients en soient les premiers avertis.
Surtout les clients qui passent par les partenaires de Wari comme Taf-Taf et qui au finish, qui n’ont leurs yeux que pour pleurer.
En attendant, faites un tour dans la ville et vous verrez 1 Wari sur 20.
CEBE