« Le mouvement Y en a marre constate à l’instar de tout le peuple Sénégalais, le retour dans l’espace publique, du débat sur l’introduction de l’éducation sexuelle dans le curriculum de l’enseignement élémentaire. Trouvaille d’institutions internationales, d’organisations et lobbies de tous genres, ce concept générique n’est en réalité qu’une façon subtile et pernicieuse de vouloir introduire des sujets tels que l’acceptation de l’homosexualité et toutes les vices y afférents dans nos écoles. Ceci en dépit de la position de refus catégorique des sénégalais.es, d’épouser ces pratiques étrangères à nos sociétés. Posture défendue âprement par Y en a marre quand en 2015, au prétexte d’un référendum, il a été proposé à l’appréciation du peuple des réformes intégrant la problématique du « GENRE ».
Cette volonté des Sénégalais.es de préserver leurs valeurs et cultures ne saurait être ignorer par nos gouvernants. Par conséquent, nous exigeons à l’Etat du Sénégal de prendre ses responsabilités face à la persistance de cette question, que nous force ces institutions.
Y en a marre tient à réaffirmer, encore une fois, à l’Unesco que toutes initiatives visant à nous imposer des principes, des mœurs, des valeurs extérieures entrant en contradiction avec les nôtres ne saurait prosperer.
Le mouvement ne s’en arrêtera pas là car il compte s’engager auprès de toutes les dynamiques déterminées à barrer la route à ce projet qui ne saurait prospèrer au Sénégal. Aussi, Y en a marre appelle les organisations syndicales de l’enseignement, qui ont très tôt alerté l’opinion sur les intentions de l’Unesco à rester vigilants.
Mouvement Y’en a marre »
Y’en a marre dénonce les manœuvres de l’Unesco et appelle l’Etat à prendre ses responsabilités
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