L’année 2020 qui va mourir de sa belle mort dans quelques heures a été… macabre. Elle sera inscrite au tableau des très mauvais souvenirs. Les plus sinistroses. Les plus dramatiques. Elle n’a tenu que deux mois pour changer le monde. Imposant de nouvelles manières de vivre et de faire. Des croyants ont été privés de vivre leur religion. Des habitants confinés, obligés de se cloitrer entre quatre murs. Bien entendu, des couples ont éclaté d’autres se sont ressoudés.
Pour ce qui est de la population mondiale, il faudra se préparer à la voir doubler. Malgré les règles barrières, certains n’ont pu respecter cette distanciation garante de notre retour à une vie normale. Dans un monde où les gens ne se parlaient pas, il fallait bien qu’il se crée des malentendus. Surtout quand on les confine entre quatre murs. Et forcément, c’est l’amour ou la haine. Fort heureusement, dans un pays comme le nôtre, on a eu droit à des scénarii meilleurs. Même avec le port du masque, person ne ne s’est ennuyé. Surtout les hommes qui tenaient à vivre et qui sont restés suspendus aux déhanchements poétiques de nos femmes.
Lesquelles nous maintiennent en vie malgré la rébellion de quelques égarées qui doutent de leur position de Reines pour se mesurer aux pauvres mâles que nous sommes. Et quoi encore ??? Ce pays a changé et son intelligentsia dévoyé, relégué au rang de serpillière où l’on s’essuie rageusement les pieds. La preuve ? Pawlish Mbaye et Ouzin Keita grignotent dans les parts d’audience des grands débats de nos télévisions locales. Quelle dégringolade ! N’en rajoutons plus. Ce pays marche sur la tête. bonne année et que 2021 soit meilleure afin qu’on puisse marcher à visage découvert, s’embrasser, « s’enjailler » et s’encanailler. sans restriction ! C’est ce qui fait son charme.
Kaccoor Bi