La campagne de vaccination contre le coronavirus risque de connaitre des perturbations dans notre pays où beaucoup de Sénégalais affichent déjà leur réticence à prendre « le poison de l’extermination des Africains », selon le secrétaire général du Cusems Authentique. Dame Mbodj annonce la création très prochaine d’un collectif dénommé « Non au vaccin de la mort ».
Depuis quelques jours, les nouvelles infections liées au Covid-19 se multiplient jusqu’à atteindre certains jours la barre des 100 cas quotidiens. Une subite augmentation qui installe le doute chez bon nombre de Sénégalais. C’est le cas du secrétaire général du Cusems Authentique qui pense que les chiffres avancés ces derniers jours sont dictés en fonction des objectifs mondiaux. C’est pourquoi, Dame Mbodj considère que le communiqué quotidien des autorités sanitaires n’est qu’une farce doublée d’une tricherie pour faire valider « le vaccin de la mort ».
La maladie de Covid19, soutient-il, ne va pas faire des dégâts. C’est pourquoi, il pense que les « lobbies » vont tout faire pour nous trouver d’autres formes de dégâts afin d’atteindre leur but. « Au Sénégal, chaque école compte plus de 1000 élèves. A Limamoulaye, par exemple, on est à 7000 apprenants. Il y a d’autres écoles qui ont 2000, 3000, 4000, 6000 élèves et plus. Sachant que les écoles ne sont pas des espaces fermés, on nous dit qu’il n’y a toujours pas de cas signalés dans ces lieux à forte concentration humaine alors pourtant qu’il n’y a aucun dispositif sanitaire adéquat. Les élèves ne portent pas de masque…
Certes, les scientifiques ont dit que les enfants sont des asymptomatiques. D’accord. Mais qu’en est-il des enseignants ? Pourquoi il n’y a toujours pas de cas signalés du côté des enseignants si on sait que les enfants sont en parallèle de grands vecteurs de transmission ? ». Autant de questions qui font dire à cet enseignantsyndicaliste que « le gouvernement fait de la politique politicienne pour préparer la venue du vaccin ». Ce contre quoi lui, en collaboration avec d’autres, compte s’opposer à travers la création d’un « Collectif non au vaccin de la mort » !
Sa détermination, Dame Mbodj la fonde sur l’idée selon laquelle l’introduction d’un nouveau vaccin contre la pandémie de Covid-19 serait « un enjeu financier énorme avec comme seul objectif de réduire le nombre d’Africains. C’est pourquoi, je dis qu’ils vont propager du poison dans les vaccins pour diminuer le système immunitaire des Africains. Car ils sont aujourd’hui dans une logique d’exterminer les Africains comme ils l’ont fait avec les Amérindiens », martèle M. Mbodj selon qui « et avec leur plan de déstabilisation de l’ordre mondial pour leur nouvel ordre mondial, tout ceci rentre donc dans leur agenda de l’iliminatis ». Vous avez dit « complotiste »
Le Témoin