A défaut de légaliser, on peut toujours légitimer. Et le président du groupe parlementaire de l’APR a osé.
Aymerou Gningue, de son nom particulier, a évoqué, avant-hier, un troisième mandat possible pour Big Mack. Mais rassurez-vous cependant.
Pas dans le sens de chercher des ennuis mais plutôt dans celui de la caresse du poil.
Il a dit en effet que Big Mack pouvait très bien briguer une candidature et un troisième mandat parce que juridiquement il en a les moyens.
Mais qu’est-ce qu’il entend par juridiquement ? C’est seulement là où se trouve le problème.
Veut-il évoquer la constitution. Veut-il convoquer une jurisprudence ?
Veut-il nous citer des textes qu’il est seul à connaître ?
Nous n’en saurons pas plus pour l’instant.
Mais comme l’histoire s’avance toujours masquée avant de se démasquer, wait end see: 2024 n’est plus si loin.
Cébé