Pour ma deuxième retraite quinquennale, je ne me ferai pas trop de soucis. Devin, disciple de Nostradamus, voilà à quoi je m’essayerai : c’est un don. Maintenant je suis sûr que je sais lire l’avenir.
Qu’est-ce que je vous avais dit à propos du diabète de Tonton Beau Gars ? N’avais-je pas prédit qu’il le conduirait très vite au Pavillon spécial de Le Dantec ou dans un autre asile discret et confortable.
Eh bien ! Voilà qui s’est fait. Notre justice (Ah ces braves hommes qui ne déçoivent jamais leurs amis) vient de me donner raison.
Tonton recommence à humer l’air de la liberté républicaine depuis avant-hier et bien malin celui qui pourra le retourner à l’ombre
C’est une affaire de vrais faux billets et de vrais faux copains.
Cebe