Qui vois-je là ? Mary Teuw Niane ! Le Monsieur a du bol. Las d’attendre d’être recasé, il avait commencé par écumer les réseaux sociaux, tirant sur le « Macky ». S’offrant même un baroud d’honneur en décidant de faire face au Beau-frère pour lui arracher la mairie de la joyeuse ville de Saint-Louis où les filles ne seraient plus comme avant.
Elles seraient maigres comme des clous de girofle. Ah, la crise ! L’accès de colère politique de « Meury » vient donc d’être payé. PcA, c’est mieux que d’être teacher chez ces sales gosses mal polis, lanceurs de pierres. Bien avant lui, un autre s’y était essayé et a eu gain de cause.
Et pourtant l’on nous dit que le chef reste imperturbable, insensible au chantage. Tu parles ! le beau-père est prié de rendre son fauteuil de PcA au moment où ça s’agite dans la boite. Est-ce pour l’éloigner du bourbier d’une future fin de règne ? En tout cas la boite est sens dessus- dessous. Ya quoi encore ? Ah, le fric qui agite la presse ! Ainsi donc, le pays compterait un millier d’organes de presse. Ceux qu’on appelait les quatre mousquetaires ont fait du bon boulot.
Un seul tient encore sur ses solides reins. Une partie du fric aurait été réservée à une presse dite en ligne qui tire ses revenus du travail de la presse dite traditionnelle. Visitez au hasard quelques-uns de ces sites dont le personnel se résume au propriétaire, flibustier et franc-tireur du genre, laissez-moi vos ennemis, je m’en charge.
Et ça fait vivre, croyez-nous. On enrichit ainsi des mercenaires au détriment de chefs d’entreprise qui triment jour et nuit pendant que d’autres sont derrière leur ordinateur à fracasser le bon usage de la langue. A part trois ou quatre sites, tout le reste barbotte dans la fange. Galsen sur scène, ça nous donne toujours de ces scénarii à la noix. M’enfin !
Kàccoor bi