Vous n’avez peut-être pas fait attention, mais depuis quelques jours, les prieurs forcenés semblent faire moins de résistance.
Quand ils ont vu dans les réseaux sociaux comment étaient traités certains contrevenants à la loi, ils ont compris qu’on ne gagne rien en se frottant à la jeune génération de flics.
Pourquoi ? Parce que tout simplement, au contraire de leurs ainés, ceux-ci font un usage immodéré de la cravache et s’attaquer à eux signifie courir à sa perte.
Si tu en tapes un, les autres volent à son secours et t’embarquent.
Si c’est eux qui te tapent, il n’y aura pas de pitié et, de toute façon, tu finiras au poste.
Alors, à quoi bon ? Autant attendre que toutes ces histoires de confinement se fassent pour retourner à la mosquée et faire ses prières.
Ce n’est pas comme que ça doit fonctionner, Outaze Poutine ?
Cebe