C’est connu ! Comme Jean Lefebvre, l’Imam Sarr travaillait pour vous. Depuis 2012 au moins. Mais à présent que les choses ont changé, ce n’est plus la girouette qui tourne, mais le vent.
Comment tout ça est-il arrivé ? «Yalla rek kham». Mais depuis que le projet qu’il portait avec ses copains religieux a rencontré l’assentiment des autorités après mille difficultés, le religieux révolutionnaire a mis beaucoup de « safara » dans son breuvage. Il n’a pas été des rangs de marcheurs contre l’augmentation du prix de l’électricité. Raison évoquée ? Il n’a pas été invité.
En revanche, il a été de tous les plateaux de télé pour expliquer que Senelec n’y est pour rien dans l’affaire puisque c’est l’État qui lui doit du fric. Ainsi demande-t-il de reconsidérer les choses puisque depuis 7 ans, personne ne se plaint. Au nom de la patrie reconnaissante, nous lui décernons le Chapelet d’Or, édition 2020, pour effort d’explications des ennuis qui nous arrivent.
Cebe